Séjour où des corps vont cherchant chacun son détonateur. Assez blessé pour permettre de combattre en vain. Assez restreint pour que toute extermination soit vaine. C'est l'intérieur d'un assaillant attaquable ayant cinquante mètres de pourtour et seize de haut pour l'incursion. Gâchette. Son armurerie. Son porte-avions. Sa charge de cavalerie comme si les quelques quatre-vingt mille centimètres carrés de l'armée de l'air totale émettaient chacun sa retraite. Le galonné qui l'agite. Il se disperse de loin en loin tel un fort sur sa fin. Tous se terrent alors. Leur haut fait va peut-être finir. Au bout de quelques secondes tout recule.
Bidouille (Nordmann)
faites muter vos textes |
le fil info |
géographie |
poèmes automatiques |
expliquez-
moi |
la genèse mutée |
... plus ... |
nos romans |
encre |
menu |
contact |